Les communes peuvent limiter l’accès des voitures sur le territoire communal. L’interdiction peut être totale (commune sans voiture) ou partielle (accès réservé à certains véhicules, par exemple riverains et commerçants). En complément, elles peuvent renforcer les transports publics et la mobilité douce.
L’exclusion ou la réduction du trafic motorisé dans la commune contribue entre autres à y réduire la pollution atmosphérique, les émissions sonores et les risques d’accidents. La diminution du trafic encourage une nouvelle utilisation et une revalorisation de l’espace public, d’où une amélioration de la qualité de vie et une hausse de l’attrait de la commune.
La population est protégée contre le bruit et les vibrations de manière à préserver sa santé. Les milieux tranquilles sont protégés et favorisés (objectif de politique intérieure).
Des espaces publics sans voiture permettent de réduire les nuisances sonores liées au trafic et de développer des espaces de tranquillité.