a) Les ressources naturelles en Suisse et à l’étranger ne sont pas surexploitées. Les conséquences de la consommation et de la production sur l’environnement diminuent nettement. L’empreinte écologique matérielle par personne recule clairement et devient compatible avec le but de 1,5 °C fixé par l’Accord de Paris. b) L’empreinte gaz à effet de serre de la demande finale en denrées alimentaires – calculée par personne sur la base de la comptabilité environnementale – recule d’un quart par rapport à 2020.